Une réforme de trop ?

Une réforme de trop ?

Tout est relatif. Ceci a été maintes fois démontré par des persones de nationalités, de religions ou même d’avis diférents. Donc nous n’alons pas ergoté sur le principe bien que mon partenel ait décrété que les principes c’est comme les pets, il faut les laché de temps en temps. Come n.d.a.#, j’ajouterai que si vous vous soulagé d’une production de gaz gastro-intestinaux, les sourds peuvent en profité, pour les principes, j’en doute.

Donc, en acord avec moi même et ce a l’unanimité, je poursuis ces quelques lignes sinon ce serait déja la fin. Cèle-ci justifiant les moyens, je persévère.

Donc pour faire bref et aler droit au but mais comme le Standard ne pas marqué de gôle, j’écris ceci pour démontré que l’ortografe peut être un sujet de vexation, d’afrontement, et d’autres mots que je ne conais pas car ma culture a ses limites contrairement aux idées d’un gouvernement. Pourtant, le plus important n’est-il pas de comuniqué et de se comprendre ?

Le nombre de réformes dans la langue fransaise est inversément proportionel au nombre de biyet de banque dans mon portefeuile une fois que j’ai croisé mon épouse qui partait faire les courses ou tayé une bavète ché le coifeur (bien qu’ele en ait toujours par dessus la tte de ce dernié). L’exemple de l’accent circonflexe utilisé à la fin de XVIII siècle et que des puristes se sont dit indignés en 1990 lorsqu’on parlait de le suprimer. On peut maintenant écrire il parait sans devoir le recopier 100 fois en vert, rouge et bleu.J’amoncèle provoquera de l’urticaire ché le professeur de fransais qui ne sera pas à la page de la nouvele ortografe. La corole pert aujourd’hui son aile. Le tréma d’ambigüe qui passe du e au u nous prouve que l’homme est bien seul au sommet de l’évolution. Force m’est d’avoué que mon nouvel exéma sera moins douloureux que mon ancien eczéma.

Je n’ose parlé des réformes de la prose, de la conjugaison ou de la gramaire depuis la bèle époque de Cyrano et de sa tirade nasale. Mettre er ou é, l’infinitif ou le participe passé, j’en ai rien à cirer (ou ciré dans la prochaine réforme). Mais bon à chaque époque ses puristes.

Ecrire devrait être un plaisir sans avoir les soucis d’un accent ou être perturbé par une lètre double pour tel ou tel mot parce qu’un académicien était trop agé pour aler voir Mickey et qu’il avait voulu se vengé des petites têtes blondes.

Avec les SMS, une nouvèle ortografe fonétique comence a voir le jour et dans un multiple non néglijable de celui-ci, le Larousse et le Petit Robert accueilera ces nouveaux nés de la langue fransaise dans leurs pages.

Je propose donc une nouvèle réforme qui fera économiser de l'encre aux imprimantes en économisant des lètres inutiles, qui fera gagné du temps en suprimant le conflit entre l'infinitif et le participe passé, j'en passe et des moins bones.

Ces lignes ont été rédigées avec cète réforme. Qu'en pensez-vous ? Est-ce la réforme de trop ?

La semaine prochaine je proposerai a Buckingham Palace une réforme de la langue de Shakespeare en posant la question sur l'utilité des verbes iréguliés.